
Pour Ali Bongo Ondimba, le plus important est « l’efficacité collective ». « Après mon retour, en 2019, j’ai souhaité amorcer une nouvelle étape de mon septennat. Pour ce faire, j’avais besoin de nouvelles compétences. De personnes qui pensent et agissent différemment. Pour pouvoir s’adapter sans cesse, il faut être capable de changer d’organisation », a expliqué le président gabonais dans une interview parue dans le magazine Jeune Afrique.
La recherche de ces nouvelles compétences et de l’adaptation, a conduit le chef de l’Etat à se séparer de ses proches collaborateurs tels que : Arsène Emvahou, Frédéric Bongo, Monsieur Park, Steed Rey, Serge Mickoto, Maixent Accrombessi, Liban Soleman, Étienne Massard.
Aujourd’hui, les anciens proches collaborateurs du président encore à ses côtés sont très peu nombreux. Il s’agit de Lee White, ministre chargé des eaux, des forêts, de la mer et de l’environnement ; Michael Moussa Adamo, ministre de la défense et Jean-Yves Teale, secrétaire général de la présidence.