
La cour constitutionnelle a récemment validée la réforme effectuée au sein du code pénal par le gouvernement gabonais. Le document final et désormais valide au a été publié au journal officiel de la République Gabonaise. Le nouveau Code pénal va condamner avec la dernière rigueur, toute forme de violence sociale. L’auteur de tortures ou d’actes de barbaries est puni de trente ans de réclusion criminelle et d’une amende de 30millions de FCFA.
Il est qualifié de personne vulnérable toute personne mutilée en raison de son âge, de sa maladie, d’une infirmité, d’une déficience physique ou psychique, d’un état de grossesse ou de veuvage. L’avortement volontaire et clandestin est passible de deux ans de prison et d’une amende de 1million de FCFA. L’interruption volontaire de grossesse est autorisée que dans des cas particuliers. L’inceste, le viol et le meurtre sont également sévèrement punis.
Le nouveau code prévoit des fermés sanctions contre toute forme de mariage précoce et forcé, contre le détournement de mineure, le harcèlement sexuel et toute forme de discrimination. Le Gabon compte canaliser toutes les dérives qui nuisent au bon fonctionnement de la société. Des mesures plus fermes sont mises sur pied pour éradiquer les phénomènes sociaux que rencontrent le Gabon. Ce collègue de textes entrent officiellement en application. Toute personne qui se rend coupable de tous délits, crimes et contraventions sera jugée et devra régler ses dettes envers la société gabonaise.